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Notre séjour à St Jean de Montclar vient hélas de se terminer dans une ambiance comme seule notre association peut générer.

 

L'Espace fût le maître mot du séjour. Depuis l'hôtel qui nous a super bien accueillis jusqu’aux randonnées sur les sommets enneigés. La découverte d'un espace à l'infini sur des sentiers aériens, mais pas vertigineux, où chaque pas laissait la place à une vision exceptionnelle sur de somptueuses vallées, sur le vert émeraude du Lac tentaculaire de Serre Ponçon et sur un panorama à couper le souffle sur le Mercantour, la Vanoise, les Ecrins et au-delà l'Italie. Du haut de ses 2500 m le fort de Dormillouse, véritable nid d'aigle, nous a permis ce bivouac extraordinaire mais amplement mérité tellement l'ascension par le col de Bas était particulièrement gratinée... (mais on n'a rien sans rien) et aucun restaurant au monde ne peut vous proposer un tel menu… (je ne parle pas évidemment du contenu de la musette...)

 

L'autre groupe s'est retrouvé à la côte 1800 m où les panoramas sur le lac étaient tout aussi saisissants et où les forts et les tours jalonnaient le paysage.

 

Le retour s'est déroulé sans encombre après un passage obligé aux boutiques régionales en se donnant rendez-vous à dimanche prochain car l'aventure n'est toujours pas terminée...qu'on se le dise !

 
 

Dernière mise à jour : 26 mai


Aujourd'hui, à Saint-Jean-du-Bruel, ce fut une immersion brève mais intense dans la beauté sauvage des Cévennes. Nous sommes partis à la découverte des trésors, témoins de son passé séculaire, tels que le vieux pont, les fours à calamine et le four à chaux, sans oublier le Tombeau du Géant. Chacun de nos pas nous a portés au cœur d'une nature verdoyante, aux mille nuances, sublimée par une profusion de fleurs multicolores et l'odeur enivrante des genêts.

 
 

Dernière mise à jour : 19 mai




Enfin une belle journée ! Une journée comme on les aimes ! Un ciel radieux, une petite brise venue de la plaine nous a accompagnée pour ventiler les effluves de nos aisselles vieillissantes. Un déroulement de paysages très variés allant de la prairie verdoyante aux sentiers botaniques d'une richesse infini, sans oublier des vues sublimes sur des chemins caressant le bas du ciel au fond duquel une cloche perdue sonnait l'angelus comme dans un descriptif des lettres de mon moulin...Les eaux vives de la rivière Dourbies nous ont accompagnées durant la dernière partie du parcours comme pour nous montrer le reste du chemin. Et c'est avec une certaine fatiguette... (ce n’est pas exactement de la fatigue ...C'est un diminutif ...) que nous avons retrouvé les ombrages encore tranquilles de la place de Nant afin d'hydrater les restes encore valides de nos cellules défraîchies...

 

Allez zou ! una bella pasejada !!

 
 

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